Renault Clio III : Citadine ou routière ?

Coincée entre Modus et Mégane, la nouvelle Clio ne manque pas d’atouts pour remporter la mise dans la gamme Renault. Essai de la 1.4 essence pour voir.

Sept ans après la Clio II voici donc la troisième génération de Clio. Une voiture à la fois urbaine et routière. Certains diront qu’elle a tout d’une grande, mais la vérité c’est surtout qu’elle n’a vraiment plus rien d’une petite. A commencer par ses dimensions. Avec presque 4 mètres de long pour 1m70 de large, la Clio III rivalise avec des véhicules du segment supérieur, et fait bien entendu mieux que sa devancière. Ses lignes sont à la fois souples et dynamiques. La face avant gagne en agressivité grâce notamment à son capot particulièrement plongeant. L’arrière est lui plus généreux avec entre autres des ailes élargies et un porte à faux relativement court. Les feux ont pour leur part totalement changé de look au point d’être à présent en forme d’ogive.

Une fois à l’intérieur, l’habitacle s’avère plutôt confortable. Les sièges offrent un bon maintien, le tableau de bord est à la fois simple et lisible. Enfin la console centrale a été épurée, pour ne laisser désormais qu’une horloge et un contrôleur de ventilation. Situé en hauteur, le système d’abaissement des sièges permet lui d’accéder facilement aux places arrières. Dommage en revanche que les sièges ne puissent pas se rabattre à l’horizontal.

Une fois la voiture démarrée, c’est avant tout un sentiment de sécurité qui se dégage. La position de conduite offre une bonne visibilité. Et petit « plus » qui pourrait bien faire la différence, la Clio III s’avère à l’usage extrêmement silencieuse.

Pour cet essai, notre choix s’est porté sur la version 1.4 litres, trois portes qui développe 98 chevaux. Un modèle facturé 14.300 euros. Nous avons notamment apprécié sa tenue de route ainsi que sa faible consommation (6,6 litres/100 moyenne), mais avec 150 kilos de plus sur la balance le moteur nous est apparu un peu moins performant que sur la Clio II. Un défaut tout de même, si la direction assistée s’avère très efficace à l’arrêt, une fois lancée la Clio III pâtit malheureusement d’une direction un peu floue. La gamme, elle, est en revanche beaucoup plus claire. Disponible en trois et cinq portes depuis septembre, la Clio III propose au choix six motorisations : trois Essence et trois Diesel dont notamment un 1.5 dCi 85 ch qui devrait apriori constituer le plus gros des ventes. Côté tarifs, l’entrée de gamme est à 11.800 euros. Il vous faudra en revanche débourser 21.200 euros pour bénéficier du Pack Luxe.

Il me semble que c'est la voiture de l'année 2006 ... non ??

oui c'est exact et cela pour la 6eme fois

PFFFFFFFFFFFF, élue voiture de l'année est basée seulement sur l'esthétique et non sur la fiabilité et performances, ce qui est dommage.

la voiture de l'année est en fait élue comme cela :
- esthetique
- performances / categorie
- agrément de conduite

La fiabilité ne peu pa etre mesurée helas car les "voitures" de l'année sont toujours les derniers modeles sortis!

Pour ma part, depuis que j'ai gouté aux voitures étrangères, j'ai laissé tombé les françaises.
La raison est simple et facile à réaliser par vous, meme si vous y connaissez rien en bagnole.

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De ce journal spécialisé de l'automobile, vous avez les tarifs du neuf et aussi la cote.
Faites un comparatif entre les équipements d'une voiture étrangère et une française et vous allucinerez quand vous voyez que les Français proposent encore des leve vitres manuels, alors que sur les étrangères, c'est électrique dés le bas de gamme.
Autre équipement, aujourd'hui, essentiel, la direction assistée, elle est de série sur les étrangères, sur les bas de gamme françaises, c'est encore la bonne crémaillère.
J'arrete là parce que si non, la liste va être tellement longue que tous ceux qui possédent une française, iront la vendre dès demain
La c'était juste pour les équipements, si on parle de mécanique, c'est encore frappant, je m'explique:
Vous ne le savez pas ou peu, mais les moteurs qui équipent les voitures françaises ne sont pas toujours de la marque.
Eh non, c'est une minorité, certes, je dirais heureusement aussi, si non certains moteurs ne connaitraient pas un tel kilométrage. Ok vous voulez des exemples, bah c'est simple, la fameuse Safrane en 2.5 TD, c'est un moteur de base italienne, seul les périphériques sont de la marque. C'est un moteur qui arrive à dépasser les 400.000Km, le moteur 2.1 TD, lui est français et il peine à dépasser les 250.000Km.
A l'arrivée des moteurs dernière génération le groupe PSA c'est vu en mauvaise passe, quand ils ont vu les 1eres générations HDI arriver en masse pour SAV, moteur qui cassaient entre 20.000 et 80.000Km.
Renault ne fesait pas mieux, car leur moteur DTI présentait de grands problèmes de fiabilité...
Maintenant je m'attaque à la partie commerciale, les françaises moins équipées restent chères, par rapport à la concurrence.
Le seul argument valable est que la finition de construction est meilleure sur les françaises que sur certaines étrangères.
Par exemple sur certaines voitures haut de gamme, sur les françaises notament, il y a encore des options payantes, alors que si le client veut le haut de gamme, c'est qu'il y a une bonne raison.
Rappelez vous, il n'y a pas très longtemps seule les françaises ne proposaient pas l'ABS de série, mais une option chère, pour la sécurité c'est pas top.
Et j'en finis avec le SAV, j'ai remarqué que les françaises, ils se tiennent au contrat, c'est à dire les dates affichées de la garantie et rien d'autre.
Chez certains étrangères, selon l'importance il est pris sous garantie ou voir un geste commercial.
Voilà c'est ce que je peux en dire, après avoir travaillé pour un constructeur automobile Français et d'après mes nombreux achats de voiture. Eh oui à mon jeune age, j'ai déjà acquis plus de voitures que mes ancetre
Puis un conseille, ne goutez pas aux voitures américaines, car là c'est encore autre chose