Les voitures fiables

Je suis tombé par hasard sur un AutoPlus, chez mon medecin, et j'ai été surpris par la publication des autos fiables.
Jusqu'à maintenant je m'étais mis dans la tete qu'Alfa Roméo avait des problèmes électriques, or dans le test publié, c'est la marque qui est en tete dans leur fiabilité.
Je vous cache pas que j'ai regardé la cote Argus de cette marque et se sont des autos qui sont moins chères que les françaises et Allemandes.
Dans la meme publication on peu voir que toute la gamme de chez Citroen est également fiable ce qui n'est pas le cas de Peugeot par exemple, alors que c'est le meme groupe.

Les voitures qui posent un vrai problème de fiabilité sont Audi TT de 98 à 2006
Renault Espace 4 (dernier model)
Et une bonne partie de la gamme Opel.

Alors ils publient la liste des autos sans problèmes depuis leur mise en vente, Dacia, Chevrolet, Daihatsu, Kia, Lada, Mitsubishi, Suzuki et Toyota. Mais il faut savoir que sur ce genre d'autos, l'électronique est la plus simple voir inéxistante et donc plus fiable.

Bah, c'est connu que les voitures d'aujourd'hui sont bourrés d'électronique et dans certains cas sa pose conflis.
Pour preuve la Renault Laguna, et Espace 4 qui sont des énovations téchnologiques, mais niveau fiabilité c'est pas térrible. Des voyants qui s'allument au tableau de bord, alors que la voiture n'a aucun soucis, c'est à se demander si c'est pas une arnaque du constructeur qui nous obligerait à passer à la concéssion pour brancher "la valise" et sans rien faire nous facturer jusqu'à 200€ selon marque et model.

En tous cas, j'ai pris une décision, je retourne en arrière dans le domaine de l'automobile.
Je trouve que les voitures avant 2000 sont plus fiables que celles de maintenant et en plus n'impote kel mécano peu y mettre les mains, contrairement aux autos d'aujourd'hui. Pour preuve, je me suis séparé d'une Alfa 155 2.5TD Sport de 96 à une Mazda coupé 2L GTi de 87 et ma femme d'une Opel Agila 1.2 Elegance de 2001 à un Chrysler Voyager 3.3 V6 GPL de 93.
Depuis que nous avons "les vieilles voitures", bah aucun problème de fiabilité, puis ont trouve les pièces sans problème. Et le point super positif, c'est que le mécano quand il voit l'auto, il l'a connait et donc il n'hésite pas dans son diagnostique.

voici le classement des marques les plus fiables
(sondage Warranty Direct associé au magazine anglais What Car)

Il date de quand ton truc, car sur l'auto plus n°962 de mardi 13 dernier, indique Audi dans les 3 en tete et pas 22eme et Alfa Romeo 1ere.

Ce que tu as fait certainement reference par rapport aux ventes dans le pays concerné, mais en France les ventes sont pas forcement les memes et donc les retours sont autres.

danidan a écrit:

Il date de quand ton truc, car sur l'auto plus n°962 de mardi 13 dernier, indique Audi dans les 3 en tete et pas 22eme et Alfa Romeo 1ere.

Ce que tu as fait certainement reference par rapport aux ventes dans le pays concerné, mais en France les ventes sont pas forcement les memes et donc les retours sont autres.

Le tableau c'est niveau mondial et non pas français !
il date d'octobre 2006.
Depuis ca a un peu changé, puisque Honda et Toyota se disputent la 1ere place.

Franchement je doute que 3 mois font passer un constructeur de 5eme place, d'après ton tableau, à la 1ere place.
Se qui voudrait dire que le tableau AutoPlus serait à jour.
D'ailleurs si on regarde attentivement, seuls les Japonaises/Coréennes s'en sorte haut la main

En tous cas c'est sur, les voitures depuis 2000 tombent plus souvent en panne que dans le passé. Cela s'explique par des matières premières de moins bonne qualité et pour çà il suffit de voir que les carrosseries sont de plus en plus en fibre ou plastique, alors que dans le passé c'était en tole.
L'electronique était juste dans les autoradios, aujourd'hui c'est electronique meme pour ouvrir et fermer les portes
Comme il est inévitable d'avoir une auto bourée d'électronique, du coup, j'ai une Japonaise, eh oui c'est eux les leaders de l'électronique, puis en vous lisant, vous témoignez de leur fiabilité.
Les françaises je les conduit qu'au travail et quand j'ai passé mon permis et çà date maintenant.

je te rejoins, il est clair que les Japonaise sont veritablement fiables, et l'ont toujours été !
j'ai une vieille Honda Concerto, qui accuse "seulement" 110 000kms, elle tourne comme a ses premiers tours de roue.
et jamais de panne, jamais rien eu a changer ! vive le Vtech !

C'est pour ca que moi la prochaine ca sera aussi une Jap, la nouvelle Civic

Voici une info qui fera que les constructeurs doivent etre vigilants à la sécurité.

CONDAMNATION DU CONSTRUCTEUR SUEDOIS VOLVO POUR DELIT D’HOMICIDES INVOLONTAIRES : POURVOIS EN APPEL

Le constructeur automobile Volvo Car Corporation a comparu devant le tribunal correctionnel de Saverne suite au décès de deux enfants et aux blessures légères d’un troisième, occasionnés par un accident dans lequel était impliqué un véhicule Volvo break 850 TDI (Interview de Me Thierry Cahn, JAC n° 79). Renvoyé en correctionnelle après plus de sept années d’instruction, le constructeur suédois a été condamné à 200 000 euros d’amende.

Le 17 juin 1999, Mme. Catherine K. circule au centre ville de Wasselonne en compagnie d’une passagère lorsqu’elle constate que les freins de sa voiture ne répondent plus. La conductrice perd le contrôle de son véhicule, celui-ci monte sur un trottoir, percute un immeuble dans lequel se trouve un commerce ; en même temps l’arrière du break se soulève, passe au-dessus d’une voiture en stationnement avant de retomber sur le flanc gauche. Trois enfants se trouvent malheureusement devant la vitrine du commerce, une fillette de 11 ans, un garçon du même âge accompagné de son petit frère. Les enfants sont heurtés par la voiture : la fillette est tuée sur le coup, l’aîné des garçons, blessé, décède deux jours plus tard, son jeune frère est blessé.

Suite à cet accident, une personne physique, la conductrice, et trois personnes morales, Volvo Automobile France, Volvo Car Corporation, ainsi que le concessionnaire local de la marque, comparaissaient devant le tribunal de Saverne.

La société Volvo Automobile France avait, depuis l’accident, été absorbée par la société FMC SAS, ce qui interdisait toute poursuite à son égard. En effet, une société absorbée perd la personnalité morale, l’action publique est dès lors éteinte à son égard sans que la société absorbante puisse être poursuivie pour les infractions commises par la première société (Crim. 14 octobre 2003, Bull. crim. n° 189). Les magistrats de Saverne eurent dès lors à juger de la responsabilité pénale de la conductrice, du constructeur automobile suédois Volvo, ainsi que du concessionnaire. La faute de négligence de Volvo (I) diminue la sanction pénale prononcée à l’encontre de la conductrice (II) ; le concessionnaire bénéficie d’une relaxe (III).


I. La culpabilité du constructeur automobile

Il est reproché au constructeur d’avoir laissé mettre sur le marché français des véhicules, comme celui de Mme. K., équipés de pompes à vide insuffisamment fiables altérant les capacités de freinage, de n’avoir pas procédé au rappel des véhicules Volvo 850 TDI après avoir eu connaissance de plusieurs incidents, et de s’être abstenu d’informer les propriétaires de ces véhicules sur les possibilités d’une défectuosité du système de freinage ainsi que des comportements à adopter lorsqu’une telle défectuosité survient.

L’expertise du véhicule conduit par Mme. K. révèle effectivement des fuites dans le système d’assistance au freinage, d’autres véhicules du même type présentent également des insuffisances. Le tribunal relève que ces insuffisances, constatées par des mécaniciens du réseau Volvo, avaient été signalées au constructeur.
Il est à noter que Volvo n’est pas resté inactif puisque plusieurs modifications du système d’assistance au freinage ont été effectuées, des notes confidentielles ont été adressées aux distributeurs et aux concessionnaires. Ces tentatives du constructeur d’améliorer le système et d’informer discrètement son réseau de distribution démontrent à la fois la conscience qu’avait Volvo des risques de panne, et son incapacité à résoudre de manière satisfaisante ce problème technique. Plus particulièrement, la série à laquelle appartient le véhicule de Mme. K. a fait l’objet d’une note dont le ton permet de supposer l’existence d’une certaine urgence des améliorations à apporter.

C’est en toute connaissance de cause que Volvo n’a pas procédé au rappel des véhicules susceptibles d’être affectés par les insuffisances mais a préféré inviter son réseau à effectuer une modification « dès la première opportunité » se gardant bien d’informer ses clients des risques encourus. Les conducteurs étaient maintenus dans l’ignorance du comportement à adopter en cas de panne du système de freinage.

Pour sa défense, le constructeur soulève que le système de freinage n’était pas lui-même en cause, les difficultés ne concernant que l’assistance au freinage. Volvo sépare donc la fonction de freinage de celle d’assistance, cette dernière n’étant pas selon le constructeur un organe essentiel de sécurité.

Le tribunal réfute avec raison cet argument. La défaillance soudaine du système d’assistance est en effet de nature à engendrer la panique d’un conducteur non averti de cette éventualité, qui peut alors être persuadé, comme l’a été Mme. K., que les freins ont lâché.

Le fait de fournir un véhicule susceptible de présenter un défaut d’assistance au freinage sans en informer les clients constitue, selon le tribunal, une faute en lien de causalité avec l’accident.

Le prévenu étant une personne morale, le tribunal aurait pu faire le choix de considérer que la faute était directement imputable à l’entreprise elle-même (cf. la décision du tribunal de Chambéry ce numéro du JAC), il a préféré opter pour une responsabilité « par ricochet », déduite de celle d’un organe ou représentant ayant agi pour le compte de la personne morale. En l’absence de prévenu personne physique, le tribunal a estimé que l’identité des auteurs des négligences importait peu dès lors que ceux-ci ont agi pour le compte de la personne morale. De cette manière, les magistrats ont concilié les termes, maintenant dépassés, de l’article 121-2 du Code pénal avec la réforme du 10 juillet 2000. Ce raisonnement doit être approuvé, même s’il est moins hardi que celui conduisant à une responsabilité directe de la personne morale autonome de celle des personnes physiques la représentant (V. not. M.-C. Sordino, Droit pénal général, Universités Droit, coll. Ellipses, 2005, p. 137 et s. ; J.-C. Saint-Pau, « La responsabilité pénale des personnes morales : relativité ou fiction » in Le risque pénal dans l’entreprise, Litec, Carré Droit, 2003 ; M.-F. Steinlé-Feuerbach, « Infractions pénales non intentionnelles et responsabilité pénale des collectivités territoriales : entre singularité et pragmatisme », JCP G 2007, I, 173).

Les négligences de Volvo conduisent à sa condamnation pénale, elles sont également prises en compte par le tribunal pour l’appréciation de la responsabilité de la conductrice.


II. L’appréciation de la culpabilité de la conductrice

Il est établi par témoignage que Mme. K. ne dépassait pas la vitesse autorisée lors de l’accident. Le tribunal estime cependant que la conductrice aurait du réduire sa vitesse en raison de la configuration des lieux. Depuis l’accident, la vitesse à cet endroit a été limitée à 30 km/h. Paniquée, la conductrice n’a pas eu les bons réflexes face au dysfonctionnement de ses freins. Non seulement, elle a enclenché la position Parking de sa boîte automatique au lieu d’utiliser le frein à main, mais surtout, elle a choisi de diriger son véhicule vers le trottoir plutôt qu’en direction des véhicules en stationnement. Ce qui, pour le tribunal, démontre une absence de maîtrise du véhicule. La conductrice, auteur direct de l’accident, « n’a pas effectué les diligences normales attendues d’un conducteur placé dans la même situation », ce comportement constitue une faute au sens de l’article 121-3 du Code pénal.

Pour sa défense, Mme. K. invoque la défaillance mécanique. Si, en matière de responsabilité civile, selon la loi du 5 juillet 1985, la survenance d’un événement de force majeure ne constitue pas une cause d’exonération du conducteur, il n’en est pas de même s’agissant de la responsabilité pénale. L’article 122-2 du Code pénal prévoit en effet que « N’est pas pénalement responsable la personne qui a agi sous l’empire d’une force ou d’une contrainte à laquelle elle n’a pu résister ». Ainsi, un conducteur qui avait perdu le contrôle de l’accélération et avait finit sa course contre un véhicule, a été relaxé des délits d’homicides involontaires et de défaut de maîtrise du véhicule pour avoir été pris soudain d’un malaise brutal et imprévisible (Crim. 15 novembre 2005, Rev. sc. crim. 2006, p. 61, obs. Y. Mayaud). Considérant qu’une défaillance mécanique n’est pas imprévisible, le tribunal refuse de reconnaître à la panne la qualification de force majeure. Il convient de préciser que l’exigence de l’imprévisibilité est discutée en doctrine, des auteurs affirmant que l’imprévisibilité n’est pas un élément essentiel de la force majeure, cette dernière étant constituée davantage par l’inévitabilité de l’événement (P. Jourdain, Recherche sur l'imputabilité en matière de responsabilité civile et pénale, thèse Paris II, 1982, n° 601 ; P.-H. Antonmattei, Contribution à l'étude de la force majeure, LGDJ 1992, préf. B. Teyssié, n° 64 ; « Ouragan sur la force majeure », JCP G 1996, I, 3907). La jurisprudence est divisée sur cette question et l’Assemblée plénière de la Cour de cassation n’a pas clairement pris parti (Cass. Ass. plén., 14 avr. 2006, D. 2006, 1577, note P. Jourdain, 1933, note P. Brun ; JCP G 2006, II, 10087, note P. Grosser). La conductrice aurait-elle pu être relaxée si le tribunal avait considéré que le critère déterminant de la force majeure est l’inévitabilité ? La question mérite d’être posée.

L’exigence de l’imprévisibilité étant requise par le tribunal de Saverne, les déficiences du système d’assistance au freinage ne conduisent donc pas à la relaxe de la conductrice. Les magistrats retiennent cependant qu’elles ne lui ont pas permis « de freiner dans les conditions auxquelles elle était habituée » et estiment qu’il « doit être tenu compte de cette circonstance de fait dans la détermination du quantum de la peine ». Mme K. est condamnée à 6 mois d’emprisonnement avec sursis, 300 euros d’amende et un an de suspension de permis de conduire.

III. La relaxe du concessionnaire

Le concessionnaire qui a vendu le véhicule à Mme K. effectue également les opérations de révision et d’entretien. Le prévenu a été destinataire des notes relatives au système d’assistance au freinage émises par le constructeur automobile Volvo. Les magistrats insistent sur la dépendance du concessionnaire à l’égard du constructeur en ce qui concerne la mise en oeuvre des notes et le choix des pièces de rechange.

En l’espèce, lors d’une intervention effectuée le 8 janvier 1998, soit 18 mois avant l’accident, le concessionnaire a réalisé les opérations préconisées par Volvo mais sans suivre totalement les indications du constructeur. Le tribunal relève cependant que la note transmise était imprécise et mal rédigée, en outre, ces faits ne sont pas à l’origine de la panne.

L’expertise judiciaire révèle aussi l’absence d’une pièce qui pourrait être une source de défaillance du système d’assistance au freinage. Ce défaut n’est pas pris en compte par le tribunal dans la mesure où l’installation de cette pièce n’était pas préconisée par Volvo. Faut-il en conclure que le concessionnaire est privé de toute initiative du fait de sa dépendance envers le constructeur ?

L’expertise révèle également une entaille au niveau du collier de serrage, entaille qui aurait pu être réalisée lors de l’intervention du 8 janvier 1998, le mécanicien n’ayant pas utilisé l’outillage préconisé par Volvo. Selon l’expert, cette entaille est la cause principale de la fuite de dépression dans le système d’assistance au freinage. Pour le tribunal, si l’hypothèse émise par l’expert est « une explication plausible et raisonnable », elle ne constitue toutefois qu’une supposition. En l’absence de fait avéré, le tribunal prononce la relaxe. Cette approche est une illustration de la liberté d’appréciation des juges, lesquels ne sont nullement tenus par les conclusions des experts (Colloque Cerdacc, Regards croisés sur l’expertise, 5 octobre 2007, compte-rendu JAC n° 78).

VOLVO, la conductrice ainsi que le Parquet ont fait appel de la décision.

Aujourd'hui est sortis Auto Plus avec un supplément qui aide a choisir sa voiture d'occasion avec une cote Argus assez poussée et qui vous aidera à choisir votre nouvelle voiture sans difficultées.

en gros ca donne quoi ?

T'as que l'acheter

Perso m'en fout pas besoin de voiture ... c'est surtout pour les autres

moi ma r19 a 19 ans et est pas bonnes pour la primes la casse car elle vaut plus

T'as une R19? Et elle vaut plus de 2000€? C'est quand meme rare pour cette age là!

Danidan a écrit:

T'as une R19? Et elle vaut plus de 2000€? C'est quand meme rare pour cette age là!

c'est 1000€ Dani

et pis si la voiture est en parfait etat elle vaut quand meme un prix certain

En ce qui concerne la fiabilité des alfa, j'avais des doutes mais on s'est laissé tenter il y a quelques années par une 156, 1,8 TS de fin 99, en première main avec 40,000 kms. Aujourd'hui elle a 118,000 et on a eu ZERO soucis, elle nous a donc apporté beaucoup de satisfaction (pas plus loin que cet hiver, le jour où nous avons voulu partir en vacances avec notre laguna, bien chargée à bloc avec les enfants etc... au moment où j'appuie sur start, grand moment de solitude: elle n'a pas voulu démarrer...on a tout tranféré dans l'alfa et partis en vacances avec...on était bien contents de l'avoir ).
On va malheureusement la vendre pour financer la plymouth que nous venons d'acheter.
Maintenant, on a peut-être eu de la chance !

Pat, la fiabilité des Alfa n'est plus a démontrer depuis fin des années 80, depuis c'est une légende urbaine. Je sais de quoi je parle car c'est ma 2eme Marque passion. De plus les soucis de fiabilité à l'époque étaient plus des disfonctionnements d'équipements que de pannes mécaniques. Dans les pannes connues, les vitres electriques qui fonctionnaient quand elles avaient envi ou quand on mettais les clignotants, çà fesait sapin de noel au tableau de bord.
Si non chose qui reste encore d'actualité, la mécanique est très pointue, il faut conduire en douceur jusqu'à température normale, car la mécanique sur Alfa est très fragile à froid.
Niveau moteur le 1.3 Boxer est un régal niveau bruit de fonctionnement mais aussi de ses hautes performances pour un simple 1.3
Si t'as une voiture française vends là à la place de l'Alfa

Danidan a écrit:

Pat, la fiabilité des Alfa n'est plus a démontrer depuis fin des années 80, depuis c'est une légende urbaine. Je sais de quoi je parle car c'est ma 2eme Marque passion. De plus les soucis de fiabilité à l'époque étaient plus des disfonctionnements d'équipements que de pannes mécaniques. Dans les pannes connues, les vitres electriques qui fonctionnaient quand elles avaient envi ou quand on mettais les clignotants, çà fesait sapin de noel au tableau de bord.
Si non chose qui reste encore d'actualité, la mécanique est très pointue, il faut conduire en douceur jusqu'à température normale, car la mécanique sur Alfa est très fragile à froid.
Niveau moteur le 1.3 Boxer est un régal niveau bruit de fonctionnement mais aussi de ses hautes performances pour un simple 1.3
Si t'as une voiture française vends là à la place de l'Alfa

Hey Dani, ca devient une legende urbaine la non fiabilité des francaise desormais !

Attention, je n'ai pas dit que les voitures françaises ne sont pas fiables , j'ai juste dit qu'entre choisir à vendre entre une française et l'italienne, faut vendre la française et j'ai pas donné de raisons particulières, mais si non les voici:
Les voitures françaises se vendent beaucoup mieux que les italiennes, alors que c'est absurde mais c'est comme çà.
Les italiennes ont un agrément qui les rends très confortables au niveau sensations de conduite.
C'est pas pour rien si la PUB dit "Alfa Romeo au coeur sportif", ceux qui en ont possédé une comprendront.

hello,,,,puisque ça parle fiabilité, je voulais juste prévenir que si certains veulent rouler dans une mercedes,,,il faut absolument éviter les 220 D que l'on trouve sur les C et les E de 97 et allentour .Je parle seulement des 220 D .(moi c'était une C elegance Boite Auto)
En effet la pompe gazoil lache tout les 70 000 km et j'ai aussi eu droit à la boite auto à 135 000 km ...

Voilà qui est dit

allian91

Danidan a écrit:

Les voitures françaises se vendent beaucoup mieux que les italiennes, alors que c'est absurde mais c'est comme çà.
Les italiennes ont un agrément qui les rends très confortables au niveau sensations de conduite.
C'est pas pour rien si la PUB dit "Alfa Romeo au coeur sportif", ceux qui en ont possédé une comprendront.

En fait elle nous sert de voiture "de tous les jours" et c'est ma femme qui l'utilise et pour le coup, comme les gens roulent comme des dingues et doublent n'importe comment, prennent leurs virages un peu larges ou les coupent...sans compter les (grosses) bestiolles qui traversent de partout, je préfère qu'elle ait le véhicule qui me semble le plus sûr donc la laguna, est plus récente, elle a de nombreux airbags, un moteur nettement plus puissant (j'aime aussi ). Elle sera aussi mieux comme voiture de route bis (un hayon, un bon coffre et des sièges qui se rabattent) sans compter le silence et les équipements et la boîte auto qui sont excellents. L'alfa est côtée à l'argus 2800 euros et la laguna 4600. Vu l'écart, autant garder la laguna.

Pour ce qui est des Italiennes (je ne généralise pas) et l'agrément de conduite et le confort...je suis plutôt dubitatif. Quand tu passes de la laguna à l'alfa, la différence au niveau du bruit est importante. En ce qui concerne la 156 1,8 TS, le côté sportif n'est pas vraiment de mise: les 144cv de cette voiture sont très linéaires.
Au final, ce que je pense de l'alfa:
+:
-Bon moteur, mais ne pas hésiter à bien rétrogader pour avoir des reprises correctes (sinon, tu te fais enterrer par un TD moins puissant).
-Bonne tenue de route avec peu de roulis
-Ligne vraiment esthétique et différente, caractère et élégance (c'est mon avis).
-Fiable
-Bons fauteuils bien enveloppants

-:
-La banquette pas rabattable est une misère
-Moteur linéaire, pas grand chose dans le sac en dessous de 4500tours (et pas envie de le mettre à bloc dans les tours pour le faire cracher)
-Bouffe un peu d'huile (mais c'est normal selon le concessionnaire...pour eux, en dessous de 1l/1000kms, tout va bien !)
Une alfa 75 turbo de 155cv à côté, c'est le jour et la nuit, la 75 est une boule de nerfs...

Euh
Tu oses comparer une Alfa 1.8 à un 3l V6?
Mais c'est pas du tout comparable, prends la Laguna 1.8 et après tu nous dira des news.
Je te rejoints, chez Alfa si t'as pas un 2l mini c'est pas la peine niveau comportement moteur.
Chez Alfa l'insonorisation est presque absente car, le bruit particulier Alfa est

Euhhh...non, je ne compare même pas , c'est impossible, je dis juste que la laguna est plus puissante (et que c'est mieux )

En revanche, je n'hésites pas à faire la comparaison entre la 156 1,8 et la 75 1,8 turbo qui pour seulement 10cv de plus a un caractère sans aucun rapport (et ne parlons pas des perfs)...l'effet turbo