Droit de savoir - Tsunami

Avez vous regardé hier soir le droit de savoir sur le Tsunami ??

Ce reportage a été réalisé avec des vidéos amateurs des survivants, à plusieurs endroits de la catastrophe, ainsi que les témoignages de ces survivants.

Assez impressionant à voir, surtout qu'ils ont bien reconstituer, heure par heure, le scénario de cette catastrophe. On avait presque l'impression d'y etre ...

A le voir, on comprend mieux le choc émotionel que ça a du etre...

Oui je l'ai enfin les 3/4.. un témoignage vérité comme l'a dit le présentateur.

Dommage, j'ai pas pus voir.
Sa du etre impréssionnant de voir les images dans le vif.
Faut pas oublier que quand la Nature veut reprendre ses droits, elle le montre bel et bien

Tsunami... La suite : C'est fois c'est M6 qui remet le couvert ce soir à 20h50 avec deux docus fictions..

Salut,

documentaires parfaitement navrants, hélas, au point de vue scientifique et politique...il s'agit là d'une véritable imposture!

@+

Pkoi tu dis ça ? Explicite ...

Salut,

les curieuses et curieux pourront aller voir un dossier construit proprement ici :
http://www.jp-petit.com/Presse/tsunami.htm#13_1_05

bonne lecture,
@+

ZOP, le liens que tu proposes est très intéréssant, mais surtout, j'espère que cela serve de leçon et que cela ne se reproduise plus.
N'oublions pas qu'il y a eus de nombreuses pertes humaines, mais aussi des villages à construire dans des lieux ou la seule richesse était le tourisme.
Bientot, çà sera l'anniversaire de cette catastrophe, espérons que les survivants aient reussi de se loger et d'éffacer cette cicatrice, qui nous a tous marqués...

Certes le lien est intéressant, mais même si l'on peut anticiper les catastrophes naturelles, il est difficile d'en prévoir les conséquences sur l'environnement. Le drame de l'année dernière est le premier d'une telle ampleur a survenir dans l'océan indien, qui plus est, dans une région touristique..

Un autre lien pour comprendre : http://www.ggl.ulaval.ca/personnel/bourque/s1/tsunami.sumatra.htm

Des vagues pouvant atteindre six mètres de haut s'abattaient mercredi sur la côte sud-californienne, provoquant des dégâts et des inondations sans gravité, tandis que des dizaines de surfeurs en difficulté ont dû être secourus, ont indiqué les services de secours.

Provoquées par une dépression dans le Pacifique, les vagues ont endommagé la jetée du quartier côtier de Venice à Los Angeles, dont l'accès avait été interdit au public. Selon le capitaine Terry Harvey, des maîtres-nageurs sauveteurs du comté de Los Angeles, il est encore trop tôt pour évaluer les dégâts.


Plusieurs parcs de stationnement et des rues parallèles aux plages ont également été inondés tandis que quelques embarcations ont été drossées sur le rivage.

Les autorités ont demandé aux curieux de rester à distance de la mer.

"La marée haute étant à 11H50 (19H50 GMT), les risques d'inondations sont plus faibles cet après-midi", a toutefois affirmé le capitaine Harvey.

De nombreux surfeurs ont profité de l'occasion pour pratiquer leur loisir, non sans risques: à midi, les services de secours avaient effectué plus de 50 sauvetages rien que dans la région de San Diego, à 250 km au sud de Los Angeles.

L'alerte aux vagues géantes, accompagnées de lames de fond et de courants violents, est en vigueur jusqu'à jeudi après-midi, de Los Angeles jusqu'à San Diego. De nombreuses maisons particulières sont construites sur pilotis sur cette portion de la côte.

an déjà que le Tsunami a eus lieu, d'après un mini reportage sur TF1, dans la reconstruction ils ont ameilloré les renforts des maisons et hotels et ont mis en place un systeme d'allerte sur les plages.

Ariane 5 a mis en orbite 2 nouveaux satelites météos cette nuit.
Il devrait permettre d'améliorer les prévisions météos et la detection des risques..

Tremblement de terre dans le pacifique sud hier soir, pas de dégats à constater

Une alerte au tsunami a été émise pour la Nouvelle Zélande et les Iles Fidji, à la suite d'un tremblement de terre puissant dans le pacifique sud.
Toute la zone est en état d'alerte

C'est une bonne chose que la population soit avertie, afin de meux se préparer aux évacuations, etc... en cas de nécéssité

En fait l'alerte au Tsunami n'est jamais parvenu sur l'ile de Tonga, à cause d'une panne de courant. En Nouvelle Zélande aucune information officielle n'est parvenue. Seuls des informations diffusées par les médias
ont fait fuir les populations habitant les cotes.
Aux Fidji l'alerte est parvenu sur l'ile principale mais pas sur le reste de l'archipel (110 iles)..

Comme quoi il y a encore des progrès à faire dans la circulation de l'information

Ils auraient plus de chances en fesant des messages de fumées

Un tsunami sur les cotes de l'Ile de Java fait 340 morts; 450 blessés, 150 personnes disparues. Dernier bilan.

En Indonésie le systeme d'alerte n'en est qu'a ses prémices. L'alerte n'a pas pû être efficace.

Un tremblement de terre près de l'archipel russe des Kouriles, au nord-est du Japon, a provoqué mercredi 15 novembre une alerte au tsunami au Japon. Une première vague de 40 cm a été enregistrée à Nemuro, une ville de la côte est de la grande île septentrionale de Hokkaido, a précisé un porte-parole de l'Agence météorologique japonaise. Aucun dégât n'a été signalé.
La météorologie nationale avait mis en garde contre des vagues d'une hauteur susceptible d'atteindre deux mètres et de frapper les côtes du nord-est du Japon et les îles Kouriles. Elles avaient aussitôt ordonné aux populations côtières de se regrouper sur des terrains élevés.

GAGNER DES ENDROITS SURÉLEVÉS

Le tsunami a été précédé par un violent séisme de 8,1 qui s'est produit à 20 h 15 locales (12 h 15 à Paris) en mer, près des îles Kouriles. L'épicentre se situait à environ 1 700 km au nord-est de Tokyo. Des habitants de l'île d'Hokkaido ont dit n'avoir guère ressenti le tremblement de terre, mais les autorités ont arrêté les trains dans l'est de l'île et ont invité la population à gagner des endroits surélevés.
En Russie, le ministère des situations d'urgence de Sakhaline a déclaré qu'un séisme avait été enregistré près d'îles inhabitées du centre des Kouriles, mais le ministère russe a affirmé qu'aucun tsunami n'avait encore été constaté.Le Japon, situé à la jonction de quatre plaques tectoniques, subit environ 20 % des secousses telluriques les plus violentes enregistrées chaque année dans le monde.

Source : Le Monde - 15/11/2006

La reconstruction de la province indonésienne de Banda Atjeh, à la pointe nord-ouest de Sumatra, la région la plus meurtrie par le tsunami du 26 décembre 2004, avait été conçue par le président Susilo Bambang Yudhoyono comme un modèle de transparence quant à l'utilisation des fonds - dons individuels d'une opinion mondiale bouleversée et assistance multilatérale des gouvernements. Il avait mis à sa tête un homme à la réputation impeccable sur ce plan, l'ancien ministre de l'énergie Kuntoro Mangkusubroto, qui jurait, en décembre 2005, que, bien qu'un peu de retard ait été pris au démarrage, tout allait se passer "dans une propreté financière totale". Deux ans après le désastre - qui a fait à Atjeh 200 000 morts et disparus et 500 000 sans-abri - les nuages commencent à s'accumuler sur l'opération.


Le Bureau de réhabilitation et reconstruction (BRR) de M. Kuntoro est accusé depuis août 2006 par diverses organisations non gouvernementales indonésiennes luttant contre la corruption, d'avoir laissé filer plusieurs millions de dollars dans des poches personnelles. M. Kuntoro lui-même se voit reprocher de percevoir un salaire supérieur de plus de 10 % à celui du chef de l'Etat indonésien.

Au printemps, l'ONG britannique Oxfam a suspendu toutes ses opérations après la disparition de 22 000 dollars de ses caisses. La moitié a été retrouvée après une enquête diligentée par Barbara Stocking, directrice d'Oxfam Grande-Bretagne, qui a visé 22 agents locaux de l'ONG, dont 10 ont été mis à pied. Mme Stocking a dû promettre dans une déclaration que "le public qui a effectué des dons de manière si généreuse doit être rassuré sur le fait que l'argent contiuera à changer la vie des gens si gravement touchés par le tsunami".

Pas si simple, dans un pays où la corruption est un fléau permanent. Le responsable de la gestion des avoirs du BRR, Akhyarmansyah Lubis, fait l'objet de poursuites en justice depuis que des ONG ont affirmé que 50 000 dollars ont été subtilisés dans la publication d'un livre de propagande, Construire une Terre d'espoir. Suspendu pendant un mois, il a été, fin novembre, reconduit dans son emploi au sein du BRR - quoique provisoirement déchargé de ses fonctions de gestionnaire - en attendant que la justice décide d'une éventuelle inculpation. "Voilà qui prouve que le BRR n'est pas plus déterminé à lutter contre la corruption que toute autre institution gouvernementale en Indonésie", s'est insurgé Akhiruddin Mayuddhin, un activiste coordinateur du Mouvement anticorruption d'Atjeh.

Le BRR refuse de se désolidariser de son collaborateur au motif que la lumière ne pourrait être faite s'il était rayé de ses listes de salariés, et donc rendu libre de toute appartenance à l'organisme.
D'autres "dysfonctionnement" surgissent depuis quelque temps. Dans l'île indonésienne de Nias et ses îlots attenants, doublement affectés par le tsunami puis par un séisme subséquent, en mars 2005, des militants anticorruption se sont aperçus que des chefs de village - une vingtaine au moins - avaient revendu à leurs proches des maisons construites pour les survivants avec des fonds d'Etat. A l'origine du problème : la spéculation sur les matériaux de construction, dont le prix a doublé, pour les 15 000 habitations devant être édifiées d'ici à la fin de 2008. Et le fait que les ouvriers, qui n'avaient pas été payés depuis des mois, ont déserté. Le BRR a saisi la police.

Par ailleurs, une sorte de "trafic" d'enfants déclarés "orphelins" sans que des recherches aient permis de vérifier cet état, commence à émerger. Des milliers d'enfants sont hébergés dans des orphelinats, alors qu'ils savent que leurs parents sont vivants, à quelques kilomètres de là, réfugiés dans des camps toujours provisoires. Les parents, n'ayant plus de moyens de survie, hormis quelques subsides, préfèrent les laisser entre les mains d'organisations caritatives. A travers tout Banda Atjeh, province ultramusulmane où la charia est en vigueur depuis quelque temps avant le tsunami, il est visible que des ONG d'inspiration chrétienne, principalement anglo-américaines protestantes, fortement mobilisées, pratiquent une charité qui est loin d'être totalement dépourvue d'arrière-pensées. Et le BRR est, là encore, accusé de favoriser les enfants des pantis (orphelinats) par des subsides deux fois supérieurs à ceux alloués aux enfants vivant avec leur famille dans les camps de déplacés.

Le BRR a signé, début novembre, un protocole d'accord avec l'organisation non gouvernementale Transparency International, établie en Allemagne, pour mettre au point des procédures de lutte contre les dérapages de corruption et autres malfonctionnements résultant de l'arrivée massive de fonds dans une province déjà singulièrement déshéritée avant le tsunami.

Cet accord fait suite à une session de travail intensive sur l'usage moralement convenable de l'assistance, tenue à Manille dès 2005 sous les auspices de la Banque asiatique de développement (BAD), agence de l'ONU, laquelle a dégagé un budget de dons (majoritaires) et de prêts de quelque 860 millions de dollars pour la reconstruction de toutes les zones affectées dans l'océan Indien par le tsunami de 2004 : Indonésie, Sri Lanka, Inde, Maldives, Thaïlande. A peu près partout, des plaintes se sont élevées sur une utilisation des fonds d'assistance sinon ouvertement frauduleuse, du moins louche.

Francis Deron
Le Monde - 7/12/2006

Une alerte au tsunami été déclenchée dimanche dans certaines parties méridionales de l'Australie après un très fort séisme de magnitude 7,6 enregistré au sud de la Nouvelle-Zélande, selon les autorités. Selon l'Institut de géophysique américain (USGS), la secousse sous-marine a eu lieu près des îles Auckland à 15 heures 23 heure locale, 6 heures 23 du matin, heure française.

Le tremblement de terre a été localisé à 350 km au sud-ouest de la Nouvelle-Zélande et à 1.400 km au sud-est de l'Etat australien de Tasmanie. L'Agence australienne de météorologie a émis un bulletin d'alerte pour les zones côtières méridionales et la Tasmanie.

"Le centre australien d'alerte des tsunamis a détecté un fort séisme sous-marin au sud de la Nouvelle-Zélande dans la région des îles Auckland et cherche à confirmer la formation d'un tsunami", indique un communiqué du Centre.

En cas de tsunami, des vagues commenceraient à atteindre les côtes australiennes à partir de 17 heures 45 et toucheraient Sydney avant 18 heures 15, heures locales, selon le Centre.

www.lci.fr