Ca y est ca re explose dans les banlieues !!

Rappel du premier message :

Après Clichy, l'incendie des banlieues se propage

Des échauffourées et des incendies de voitures, qui depuis six nuits se déroulent en Seine-Saint-Denis, se sont étendus mardi soir à trois autres départements de la région parisienne. Une "structure de concertation" est mise en place pour favoriser la compréhension entre police et habitants. Face aux critiques de la gauche, le ministre de l'Intérieur dénonce une approche "mondaine".

Mardi soir, pour la sixième nuit consécutive, de jeunes vandales ont incendié plusieurs dizaines de voitures, détruits des biens privés et publics et affronté, par petits groupes, les forces de l'ordre dans la banlieue de la capitale. L'agitation n'est plus cantonnée à Clichy-sous-Bois et Montfermeil, mais s'est étendue à plusieurs villes de Seine-Saint-Denis, de Seine-et-Marne, du Val-d'Oise et des Yvelines. 34 interpellations ont eu lieu, selon Nicolas Sarkozy. La situation était revenue au calme mercredi vers 1h30.

Ces tensions urbaines font suite à la mort, jeudi à Clichy, de deux mineurs dans un transformateur EDF où ils s'étaient cachés pour éviter un contrôle de police. Mardi, après avoir rencontré les familles des adolescents, le Premier ministre Dominique de Villepin promis que "toute la lumière sera faite sur les circonstances de cet accident". Il a également exigé un rapide retour au calme.

Peu après, s'est tenue au ministère de l'Intérieur une réunion, autour de Nicolas Sarkozy, d'une trentaine de fonctionnaires, d'élus et de jeunes. Les parties ont décidé de mettre en place une "structure de concertation" pour favoriser la compréhension entre police et habitants. Le ministre a évoqué la nécessité d'"efforts considérables" et a promis aux maires d'être "à leurs côtés pour essayer d'apporter les meilleures réponses", en particulier dans les domaines de l'emploi, de l'éducation et d'équipements publics".

"Légers heurts" dans le Val d'Oise

Les incidents ont notamment éclaté mardi soir dans le secteur de la "cité des 3000" à Aulnay-sous-Bois et la cité des Beaudottes à Sevran. Une soixantaine de véhicules ont été brûlés en Seine-Saint-Denis. Un entrepôt de moquette situé à Bondy a également pris feu, sans que l'on sache si le sinistre a un lien direct avec les violences urbaines. Un poids lourd a été brûlé à Sevran, et à Tremblay-en-France quatre véhicules de la poste sont partis en flamme. Une caserne de pompiers a été harcelée par des caillassages à Aulnay-sous-Bois.

D'autres parties de la banlieue ont été en proie à des tensions, notamment le Val d'Oise, où de "légers heurts" se sont produits à Goussainville, Argenteuil et Villiers-le-Bel entre jeunes et police, et quelques départs de feux de poubelle ont eu lieu. Dans les Yvelines, la police a recensé des attroupements "exceptionnels" d'une cinquantaine de jeunes par petits groupes dans le quartier du Val Fourré à Mantes-la-Jolie. Et en Seine-et-Marne, un centre social désaffecté a notamment été l'objet d'un incendie entraînant six interpellations.

Sarkozy dénonce une approche "mondaine" de la politique

Face aux critiques de la gauche mais aussi de son collègue au gouvernement, Azouz Begag, Nicolas Sarkozy défend sa méthode de fermeté, se prononçant pour "une approche réelle" et non "mondaine" de la politique. "La classe politique est de moins en moins écoutée. Parce qu'elle ne parle pas des vrais sujets. Parce que, quand elle en parle, elle n'en parle pas avec les vrais mots", déclare-t-il dans une interview au Parisien-Aujourd'hui en France mercredi. "Y a-t-il la moindre chance de régler les problèmes sans jamais en parler ou en en parlant de manière superficielle ou alambiquée ?" s'interroge Nicolas Sarkozy, qui a été critiqué pour son recours à des termes musclés comme "racaille" ou "nettoyage au Karcher". "La politique que l'on met en oeuvre va porter ses fruits, notamment grâce au plan national de prévention de la délinquance que je présenterai avant la fin de l'année", ajoute-t-il.

Selon l'un des avocats,c'est allé trop vite depuis le début

aucune vérification des sources,témoignages anonymes; aucunes analyses scientifiques..

on essaye d'étoufer l'affaire oui ou de libérer les accusés

Un 5e mineur (17 ans) a été arreté ce matin en douceur.. Selon la police il s'agit de la "tête pensante". L'état de santé de Mama Galledou tend vers une amélioration même si le pronostic vital reste engagé.
Aujourd'hui pour la première fois un cousin de la victime, professeur à Paris, s'est exprimé et a demandé le plus grand respect pour sa cousine.

le 5e mineur a été mis en examen et écroué.

Trois individus ont tenté dimanche soir de mettre le feu à un autobus à Tremblay-en-France, en Seine-Saint-Denis, mais le chauffeur a réussi à éteindre l'incendie. L'incident s'est produit dimanche vers 21h25, rue Léon Blum, sur un autobus de la ligne 15 de la société CIF.
Les trois hommes sont montés à bord de l'autobus, ont fait descendre les passagers et ont apparemment projeté du gaz lacrymogène sur le chauffeur avant de tenter de mettre le feu au véhicule. Le chauffeur a réussi à maîtriser l'incendie et les trois hommes ont pris la fuite.

Source :www.lci.fr

je trouve que les médias ont beaucoup insisté sur "l'anniversaire" des émeutes en banlieue
au moins les journalistes ont eu leur reportage...

Conséquence de l'incident de dimanche soir, 80% des 440 chauffeurs du CIF sont en grève aujourd'hui.

Cinq jeunes ont été interpellés et placés en garde à vue mercredi matin lors d'une opération de police menée à Lormont (Gironde) après l'agression de deux policiers lundi dans cette commune de la banlieue bordelaise, a-t-on appris auprès de la police.

Interpellés dans le quartier sensible de Lormont-Génicart lors d'une vaste opération policière ayant mobilisé des policiers de la sûreté départementale et du GIPN, les cinq jeunes vont être présentés durant la matinée aux deux policiers blessés pour identification, a-t-on appris de source syndicale policière.
Selon les premiers éléments de l'enquête, les deux fonctionnaires de police ont été pris à partie par plusieurs jeunes lors d'un contrôle routier lundi après-midi. Ils ont été légèrement blessés.

Source : AFP

Un élève de 12 ans est mort, jeudi 21 décembre après-midi, à la suite d'une altercation avec deux autres élèves de 6e, au collège Albert-Camus de Meaux, en Seine-et-Marne, a-t-on appris auprès de la police judiciaire de Versailles, qui enquête sur l'affaire. La victime était le fils d'un membre du personnel non enseignant de cet établissement classé en ZEP, selon le ministère de l'éducation.

Deux classes de 6e assistaient à un cours d'éducation physique quand une bagarre a éclaté entre la victime et deux élèves, vers 12 h 30. Le garçon a reçu des coups, est tombé au sol et est devenu inconscient, précise le SRPJ de Versailles. Il ne s'est plus réveillé.

Lors de l'altercation, un attroupement s'est formé, mais les élèves curieux ont plus cherché à séparer les belligérants qu'à en rajouter, précise la police judiciaire : "C'est une situation banale en cas de bagarre dans un collège, dont l'issue est malheureusement tragique."
Le site du Figaro, qui a révélé l'information, a d'abord décrit une scène plus proche d'un acharnement collectif, précisant que la victime avait reçu un coup de poing avant que "d'autres enfants le rouent de coups".

DEUX COLLÉGIENS EN RÉTENTION
Selon l'AFP, citant une source policière, la victime est décédée d'un arrêt cardiaque. L'élève serait mort sur place et non à l'hôpital où il a été transporté par les pompiers, comme cela avait été d'abord annoncé.

Le SRPJ de Versailles précise également qu'un différend existait apparemment "depuis quelques jours" entre la victime et les deux élèves, sans vouloir donner de détails sur sa nature. La police judiciaire a commandé une autopsie. Elle va entendre les conseillers d'éducation du collège, entre autres témoins.Les deux collégiens agresseurs ont été placés en rétention au commissariat de Meaux. Ils sont actuellement entendus. A l'issue d'une garde à vue de douze heures, prolongeable de douze heures, "ils devraient être présentés" au procureur, selon le SRPJ.

Le ministre de l'Education nationale, Gilles de Robien, s'est dit jeudi "très choqué" et a exprimé sa "compassion à la famille et à la communauté éducative". Une cellule psychologique a été organisée sur place.
Le président de la FCPE, principale fédération de parents d'élèves, M. Hamana, a estimé que "le professeur aurait dû intervenir pour séparer les élèves et protéger les enfants", dénonçant "la banalisation de la violence à la télévision, au cinéma et dans les jeux vidéo".

Alexandre Piquard - LEMONDE.FR | 21.12.06 | 18h42 • Mis à jour le 21.12.06 | 20h04

La commune de Vernon, dans l'Eure, détient un record étonnant : celui des plus jeunes incendiaires de voiture. Le 28 novembre, les policiers de la direction départementale de la sécurité publique (DDSP) ont interrogé - sans rencontrer de grande résistance - quatre garçonnets âgés de 5 à 7 ans au sujet de faits survenus le 7 novembre, dans le quartier des Valmeux, à Vernon. Les auteurs ont admis leurs responsabilités et se sont fait gronder par leurs parents.
Le 7 novembre, peu après 18 heures, les quatre copains qui habitent dans le quartier jouaient dans la rue. Leur passe-temps : brûler des papiers. Non loin d'eux se trouvait, en stationnement, une vieille voiture dont les portes n'avaient pas été fermées correctement.
Excités, les quatre enfants ont décidé de donner un nouveau tour à leur jeu en lançant dans la voiture les papiers en feu. Le geste imprudent a tenu ses promesses : la voiture s'est enflammée, à la désolation des habitants du quartier, qui ont prévenu sur le champ les services de secours.
L'affaire aurait pu s'inscrire sur la longue liste des violences urbaines non résolues, si la mère d'un des garçonnets n'avait décidé de se manifester auprès de la police pour dénoncer ses agissements. Son acte civique n'était pas sans rapport avec les pressions qu'elle avait subies, après l'incendie : immatriculée en 1988, la voiture n'était plus assurée depuis longtemps, de sorte qu'aucun remboursement officiel n'était envisageable.

"PAS DE VOLONTÉ CRIMINELLE"

Le premier participant à être interrogé avec sollicitude par les fonctionnaires - sans être placé en garde à vue étant donné son âge - a volontiers mis en cause ses petits camarades. Ces derniers ont à leur tour reconnu que leur jeu avait pris une tournure inattendue et déplorable. "Ils n'avaient pas de volonté criminelle, estime-t-on très sérieusement à la DDSP. Tous les parents ont parfaitement réagi et collaboré." La procédure a été transmise au parquet d'Evreux.
A la direction centrale de la sécurité publique (DCSP), on souligne que la participation de très jeunes mineurs à des dégradations est de plus en plus fréquentes. A Limeil-Brévannes (Val-de-Marne), le 1er novembre, trois mineurs de 13 ans ont tenté d'incendier un véhicule. A Calais (Pas-de-Calais), le 15 novembre, un mineur de 16 ans et un autre de 11 ans ont incendié un conteneur poubelle. Le premier a été placé en garde à vue, le second remis à ses parents.
Piotr Smolar

Article paru dans l'édition du 22.12.06 -LE MONDE | 21.12.06 | 14h11

Trois enfants âgés de 10 ans, soupçonnés d'avoir allumé un feu qui, par propagation, a détruit totalement la ludothèque de Chelles (Seine-et-Marne), ont été interpellés et retenus mercredi soir au commissariat de Chelles, a-t-on appris auprès du parquet de Meaux.

Les trois garçons auraient mis le feu vers 18H00 à un conteneur à poubelles qui se trouvait près du bâtiment municipal d'une surface d'environ 200 m2, lequel aurait à son tour pris feu et a été complètement détruit par les flammes, selon le parquet et la police.
Aucun blessé n'est à déplorer, selon les pompiers. Le bâtiment était vide quand l'incendie s'est déclaré. Les pompiers ont confirmé que le feu avait pris à l'extérieur du bâtiment.

Les trois enfants, habitant Chelles et non connus des services de police, auraient été désignés comme les incendiaires par des témoins.
Ils devraient être remis à leurs parents pour la nuit, avant d'être à nouveau entendus par les enquêteurs jeudi, selon le procureur de la République de Meaux René Pech.

Les auditions devront notamment permettre de déterminer si les jeunes suspects ont volontairement mis le feu au bâtiment, ou si l'incendie s'est propagé sans qu'ils l'aient voulu, a précisé M. Pech.
Ils pourraient être déférés au parquet jeudi et présentés à un juge qui pourrait décider des mesures de réparation, aucune mesure de coercition n'étant applicable aux mineurs de moins de 13 ans.

Source : AFP 03.01.07 | 21h09

çà se passe dans ma ville et je suis meme pas au courant
p'tain çà crainds, en plus le batiment avait été rénové il y a pas longtemps

tu m'étonnes il était tout neuf, j'ai appris que tres recemment que la ludotheque se trouvait la c pour dire !!!

Amis contribuables... A votre porte monnaie !
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Trois enfants âgés de dix ans, soupçonnés d'avoir allumé volontairement mercredi un feu qui, par propagation, a détruit la ludothèque de Chelles (Seine-et-Marne), ont été déférés jeudi soir au parquet avant d'être présentés à un juge en vue de leur mise en examen, a annoncé le procureur de la République de Meaux.

Les trois enfants, deux jumeaux de 10 ans et demi et un garçon de 10 ans, devraient être mis en examen par le juge des enfants du chef de "destruction du bien d'autrui par l'effet d'un incendie de nature à créer un danger", délit passible de dix ans de prison pour les adultes, a précisé René Pech au cours d'une conférence de presse.
Mercredi vers 12h30, les trois enfants sont passés par dessus la grille entourant la ludothèque, ont jeté des pétards cassés en deux dans un conteneur à poubelles appuyé au bâtiment, avant d'enflammer la poudre avec une allumette, a expliqué le procureur.
L'incendie n'était "pas accidentel", a souligné le procureur. "Il y a eu de la part des enfants une volonté de mettre le feu au conteneur en sachant que cela risquait de mettre le feu au bâtiment".

AFP 04.01.07 | 19h31

Là je dit que les parents doivent assumer la connerie de leur gosses.
Je connais très bien le quartier ou çà c'est passé et elle est très calme, d'ailleurs tout le quartier a été refait a neuf.
Alors déjà des gosses qui jouent avec des petards et des allumettes à 10 ans, bah à 12 ans ils prendront la voiture des parents et écraseront tout le monde.

Faut arreter, les parents doivent assumer et c'est tout

Surtout qu'à 12h30, les gamins sont sensés être à la maison pour déjeuner non ?

Ou en garderie, car ils sont encore en vacances.
Un truc comme çà j'ai du mal à avaler, la ville fait enorme efforts pour nous équiper, d'ailleurs ils sont en train de construire un 2eme centre ville, tellement que la ville c'est developpée, mais si c'est pour que des parents négligeants laissent leurs gamins tout sacager, faudra mettre les ollaaaaaaaaaaaa

Des affrontements ont eu lieu cette nuit à Chanteloup les Vignes et aux Mureaux. Une policière a été blessée et plusieurs véhicules (dont un bus) ont été incendiés

Un match de foot dégénère à la Courneuve, bagarre générale. Bilan : 3 blessés par balles.

Le jeune congolais de 32 ans à l'origine des "mouvements de foule" de la Gare du Nord le 27 mars dernier a été condamné à 6 mois de prison ferme. Il a nié les faits à l'audience. La régularisation de ses papiers ne semblent pas mise en cause.

pfffffffff, je l'aurais envoyé dans son pays avec interdiction de revenir.
ou alors en prison façon Midnight Express

danidan a écrit:

pfffffffff, je l'aurais envoyé dans son pays avec interdiction de revenir.
ou alors en prison façon Midnight Express

Totallement d'accord !

A Paris aussi, j'ai vu les images sur BFM TV

Mio a écrit:

A Paris aussi, j'ai vu les images sur BFM TV

Quelques echauffourrées Place de la Bastille. Des voitures ont été incendiées en banlieue également.

Un mariage à Aulnay sous bois, tourne à la bataille rangée après qu'une bande de jeunes se soient invités à la fête.
Quelques blessés legers.

Dimanche 2 septembre, pour la troisième fois en une semaine, des bandes rivales se sont violemment affrontées, en pleine rue, à Paris. Aucun blessé n'a été constaté mais quinze personnes ont été arrêtées, selon la préfecture de police.

Les échauffourées ont débuté en fin de journée dans une boîte de nuit : la Casa 128, rue Lafayette, dans le 10e arrondissement de Paris. Des jeunes gens venus des banlieues nord de la capitale ont l'habitude de fréquenter cet établissement. Selon une source policière, la bagarre aurait commencé à l'intérieur de l'établissement et se serait poursuivie dans la rue. Une première intervention des forces de l'ordre a permis la dispersion des bandes et une première vague d'arrestations.

Certains jeunes gens se sont repliés sur les environs de la gare du Nord où ils ont repris leurs affrontements, dans et aux abords de la gare. Une nouvelle intervention policière a mis fin aux violences, qui n'ont pas fait de dégradations, a également précisé la Préfecture de police.
Dans la nuit du 27 au 28 août, des jeunes venus de banlieue parisienne s'étaient déjà affrontés dans le quartier de Pigalle avec des armes blanches. Treize personnes avaient alors été placées en garde à vue et une information judiciaire pour tentative d'assassinat a été ouverte à l'encontre de trois d'entre elles. Le 26 août, deux personnes ont aussi été blessées lors d'une bagarre entre deux groupes de jeunes dans la gare du Nord. Une information judiciaire pour tentative d'assassinat a également été ouverte
Frédéric Lagache, secrétaire national du syndicat de policiers Alliance dénonce un "manque d'anticipation" du phénomène des bandes en région parisienne. - (AFP.)

www.lemonde.fr

2 bandes se sont affrontées dans le centre commercial Bel Epine hier. Des coups de feu ont été échangés, il y a deux blessés. Le tireur a été maitrisé par les vigiles de sécurité du centre et arreté.

Ces 3 personnes sont déjà connues des services de police.

ca devient super craignos Belle Epine maintenant !!!!!
En quelques mois, une fusillade et un braquage de fourgon blindé !!

Disons que çà été médiatisé par rapport aux bandes rivales qui se sont affrontées à la gare du nord et à Pigale.
C'est un peu comme les catastrophes des avions qui il y a un an, étaient source quotidienne, or depuis il y a encore des crash un peu partout et en n'en parle pas
C'est que de la sur médiatisation

danidan a écrit:

Disons que çà été médiatisé par rapport aux bandes rivales qui se sont affrontées à la gare du nord et à Pigale.
C'est un peu comme les catastrophes des avions qui il y a un an, étaient source quotidienne, or depuis il y a encore des crash un peu partout et en n'en parle pas
C'est que de la sur médiatisation

enfin la on parle quand meme de fusillade !!
Il est normal quand meme d'etre informé, je ne pense pas que ce soit de la sur mediatisation, il y a eu un mort quand meme et donc une enquete judiciaire ce qui n'est pas rien ....
Et pis juska present s'est jamais rien passé dans ce cenree comercial, a part de temps a autre des peties bagarres entre bandes ....

Je ne pense pas que les crashs d'avions soient si fréquents que ça..

Joss Randall a écrit:

Je ne pense pas que les crashs d'avions soient si fréquents que ça..

c'est quand meme le moyen de transport le plus sur !

Début du procès de 2 des 8 ados impliqués dans l'incendie du bus de la ligne 32 à Marseille en octobre 2006, dont la principale victime Mama Galledou a été brulée à plus de 60%. Les 2 jeunes gens jugés risquent 15 ans de prison.

Joss Randall a écrit:

Début du procès de 2 des 8 ados impliqués dans l'incendie du bus de la ligne 32 à Marseille en octobre 2006, dont la principale victime Mama Galledou a été brulée à plus de 60%. Les 2 jeunes gens jugés risquent 15 ans de prison.

15 ans de prison sans report de peine ou ché pas quoi + une rente a vie a Mama Galledou !

à quand la réforme du code pénal ?

Arwen a écrit:

à quand la réforme du code pénal ?

grave !!!
Auncune pitié a avoir pour ces gens la !!!!

On devrait des fois revenir au bon vieu temps.... chaines et cassage de caillou tiens !

ben carrément ! le bagne ça serait pas du luxe ! parfois, ils sont mieux lotis en cabane que chez eux ! alors forcément !!!!

peut être que de suer sang et eau, ils y réfléchiraient à deux fois avant de faire des conneries !!

Un jeune homme met le feu volontairement à un car contenant 40 personnes à Chalon sur Saône (Saone et Loire). Il n'y a aucun blessé.

Les chauffeurs exerceront leur droit de retrait aujourd'hui.

Mama Galledou a témoigné aujourd'hui par vidéo interposée.
Elle a demandé des explications à ses agresseurs, ceci n'ont pas répondu.

Les deux mineurs ont été condamnés à 8 ans de prison alors que le parquet avait requis une peine de 12 ans d'emprisonnement. Ils ont bénéficié de l'excuse de minorité.

Commémoration du souvenir à Clichy sous Bois, 2 ans après la mort de Zyed et Bouna. Guy Bedos était là. Lilian Thuram avait fait parvenir une gerbe de fleurs.

et un poivrot qui etait dans le coin a aussi deposé une gerbe !!!

Des heurts ont éclaté dans la nuit de samedi à dimanche dans des départements proches de Paris. A Aulnay, un engin explosif attendait les policiers dans une cave.
Opposant des jeunes à des policiers ou des bandes entres elles, ces violences n'ont aucun lien entre elles.


Echauffourées à Grigny...
Vers 21h50 dans le quartier de la Grande-Borne, dans l'Essonne. Des pompiers interviennent sur un feu de conteneur. Des fonctionnaires de la BAC (brigade anti-criminalité) viennent les épauler. Ils sont pris à partie par des jeunes, des échauffourées éclatent dans ce quartier sensible pourtant redevenu calme depuis plusieurs mois.

Une vingtaine d'individus ont lancé contre eux des pierres ainsi que plusieurs cocktails Molotov. Appuyés par des renforts de plusieurs patrouilles de la BAC ainsi que des CRS, les policiers ont réussi à disperser les émeutiers en utilisant des grenades lacrymogènes. La police n'a procédé à aucune interpellation, mais elle a saisi une quinzaine de cocktails Molotov abandonnés par les émeutiers. Aucun blessé n'a été signalé.

Guet-apens à Aulnay-sous-Bois
Six personnes, trois majeurs et trois mineurs, ont été interpellées dans cette ville de Seine-Saint-Denis après des échauffourées. Samedi soir, pour la deuxième nuit consécutive, des jeunes de la cité de l'Europe s'en prennent aux passants. Selon les policiers, ils vont jusqu'à extraire une femme de son véhicule, y montent à bord pour foncer sur un fonctionnaire de police, sans le blesser. Puis ils se mettent à lancer des projectiles sur les policiers durant environ deux heures.

Un engin explosif retrouvé
par les policiers à Aulnay-sous-Bois

Mais l'affaire prend un autre tournant quand, au cours d'une fouille dans les caves des immeubles de la cité, les forces de l'ordre tombent sur des armes par destination comme des hachoirs de boucher et, surtout, deux bouteilles de gaz dont l'une est transformée en engin explosif : des boîtes de conserve remplies de clous et de boulons y sont fixées (notre photo).



Si la bonbonne n'est pas munie d'un dispositif de mise à feu, il suffisait, selon les policiers, d'allumer un feu à proximité pour provoquer l'explosion. "Il s'agissait d'un véritable guet-apens", estime-t-on du côté des policiers. Les auteurs ne seraient pas parmi les six personnes interpellées.

Selon la police, ces échauffourées pourraient être en lien avec une course poursuite qui a eu lieu jeudi soir, au cours de laquelle deux adolescents de 16 ans qui pilotaient à vive allure une moto volée pour tenter d'échapper à la police, ont eu un grave accident entraînant leur hospitalisation. L'un d'eux était toujours dans le coma dimanche, l'autre a perdu un genou.

Violences entre bandes à Torcy
Quatorze personnes, dont neuf mineurs, ont été déférées au parquet de Meaux lundi après-midi, à la suite de leur implication samedi soir dans une bagarre entre deux groupes rivaux dans cette ville de Seine-et-Marne. La bagarre a éclaté lorsque deux bandes de jeunes de Torcy et de Noisiel se sont affrontées "à coups de machettes", dans le centre commercial Bay-2, situé près de la gare dans la commune de Torcy, a précisé le parquet de Meaux.

Trois jeunes de Torcy âgés de 18 à 19 ans ont été blessés à l'arme blanche au cours de cette bagarre, selon le parquet. Le parquet de Meaux a ouvert lundi une information judiciaire pour violences avec arme et participation à un attroupement armé. Il a requis la mise en examen des 14 suspects, le placement sous mandat de dépôt de trois majeurs soupçonnés d'avoir porté les coups aux trois victimes, et le placement en centre éducatif fermé de deux mineurs de 14 et 15 ans.

www.lci.fr

PARIS (Reuters) - Deux jeunes qui circulaient à moto à Villiers-le-Bel, dans le Val d'Oise, ont été tués dimanche après-midi dans une collision avec une voiture de police, apprend-on de sources policières.

Un commissaire qui s'est rendu sur place, près de la cité de La Tolinette, à été pris à partie par des jeunes rassemblés sur le lieux de l'accident, où des poubelles ont été incendiées, précise-t-on de mêmes sources
"Ce n'était pas une course-poursuite mais vraisemblablement unaccident de la circulation", souligne-t-on à la Direction centrale de la sécurité publique.
Selon les premiers éléments de l'enquête, les deux jeunes circulaient sans casque. Ils ont succombé à leurs blessures pendant leur transfert à l'hôpital.

www.lemonde.fr

C'est pas grave 2 hors la lois en moins

QUESTION ? QUE FAISAIENT T'ILS SUR UNE MOTO DE TYPE DIRT BIKE
DONC INTERDIT SUR LA VOIE PUBLIQUE ET SANS CASQUE ?

bah ils fesaient les cons, résultat ils sont morts
d'ailleurs des émeutes ont eus lieu tout de suite après jusqu'aux environs de 4h du mat, çà nous rappele les émeutes d'il y a 2 ans déjà

J'ai vu au JT, la famille n'a vraiment pas honte de ce qu'ils disent. Du coup, c'est les allocs qui vont baisser pour la famille.